Quand le Gouvernement Grec a instauré la régulation du contrôle des changes, les entreprises se sont vues comme principales victimes de cette loi. Cette tendance a provoqué la fermeture de plusieurs entités industrielles. La forte hausse de faillites des entreprises se répercute sur l’économie nationale.
Les constatations de la consommation au niveau de l’économie nationale
Une année après le décret d’application de la loi sur le contrôle des changes, la Grèce constatait qu’au lieu d’avancer, le pays reculait inexorablement.
Les statistiques démontraient que le taux de la consommation de la population affichait une vertigineuse descente. Les débats sur la sortie de la Grèce de la Zone Euro, qualifiée de Grecit s’amplifiaient de plus en plus. Constatant cette faiblesse économique au niveau du pays, le Premier Ministre grec refusait à tout prix d’appliquer encore plus d’austérité. Cette prise de position du Chef du Gouvernement embrouillait davantage la politique de la sortie de la Grèce de la Zone Euro. Le Ministre des Finances de l’Etat et les différents créanciers du pays comme le BCE, la FMI et l’Union Européenne se trouvaient devant un imbroglio bien embarrassant.
Les conséquences de la consommation au niveau international
Pour sauver la banqueroute de la Grèce, des sommets extraordinaires européens et Eurogroupe étaient tenus pour débattre du cas et pour en apporter une solution pérenne. Le taux de la consommation de la population arrivait au point le plus bas. La confiance envers les banques n’était plus évidente. Les clients commençaient à vider leurs comptes bancaires et la panique a été telle qu’en l’espace de deux mois, les banques ont noté que plus de 30 milliards d’euros ont été retirés des comptes. Par ailleurs et en parallèle, les créances douteuses s’accumulaient. Les entreprises atteignaient un point financier de non retour. Pour y remédier, les banques essaient de négocier des arrangements avec leurs clients.