Cette année, nous avons pu fêter les 20 ans de la coupe du monde de football 1998 en remportant un deuxième trophée face à la Croatie. Nous avons pu voir des scènes de liesse dans les rues partout en France et dans le reste du monde. Néanmoins, à l’heure du réveil, beaucoup ont pu constater les dégâts occasionnés par certains durant la nuit.
Des vitres cassées
La nuit de la victoire des bleus face à la Croatie, les vitriers ont multiplié les interventions en urgence dans Paris et dans les grandes villes comme à Lyon par exemple. Les commerçants ont déploré de nombreuses vitrines cassées ainsi que des pillages par des bandes de casseurs qui évoluaient en marge de la fête. Profitant de la liesse et de la confusion générale, ils ont pu ainsi endommager plusieurs magasins, ainsi que des vitres de cafés et de restaurant.
Des dégradations de matériel
Les cafetiers des champs Élysée auraient mieux fait de rester fermer le jour de la finale. Si le chiffre d’affaires a été globalement bon pour eux, la perte est considérable en termes d’équipement. Entre les verres, les tables, les chaises qui ont été jetés et les vitres cassées, certains professionnels considèrent que le coût des dégâts a été plus important que les recettes. Les collectivités territoriales ont elles aussi déchanté le lendemain, car le bilan des dégradations d’installations publiques, de panneaux de signalisation ainsi que le temps consacré au nettoyage des places a été plus important que prévu.
Des échauffourées
Malheureusement, il y a ceux qui ne savent pas faire la fête et qui ne viennent que dans l’espoir de casser et de créer des problèmes avec les passants et les forces de l’ordre. Heureusement, ces incidents ont été moins nombreux que prévu. Malgré quelques heurts, les préfectures relativisent en évoquant un bilan satisfaisant avec un nombre assez limité d’accidents et d’agressions en général aux vues du nombre de personnes présentes dans la rue ce soir-là.